Laura LACOSTE, étudiante en Master 2 Administration des entreprises Formation continue ose lever la voix au féminin contre le harcèlement de rue.
« Ta main sur mon cul, ma main sur ta gueule »
C'est le message choc délivré par la jeune association nantaise.«Colère : nom féminin» pour sensibiliser au harcèlement de rue.
«Il y a un an, on m'a appelée "viande à viol"rue de Strasbourg en plein après-midi. Cela m'avait profondément touchée. J'ai alors beaucoup lu sur le sujet du harcèlement de rue, un terme rare en France alors qu'il est très développé ailleurs», relate Laura, la fondatrice de «Colère: nom féminin», qui a notamment travaillé dans une librairie spécialisée en BD et comics et managé une boutique de tatouages. Puis Jack Parker, une journaliste, se fait agresser pour la seconde fois en début d'année à Paris dans le métro. «Il m'a fallu ce deuxième déclic pour bouger.Je me suis dit qu'il fallait vraiment faire quelque chose.»
Pour agir, sa démarche est simple: l'association met en vente des débardeurs et des «tote bags» (des cabas) à des prix abordables sur lesquels sont sérigraphiés des slogans qui affichent clairement le refus du harcèlement de rue. «50 % des bénéfices financent des associations engagées dans cette lutte et également celles contre les violences faites aux femmes et aux homosexuels.
Le reste est réinvesti.» Grâce aux réseaux sociaux et au boucheà oreille,le succèsest est là puisque c'est de toute la France que les commandes affluent.
Pour soutenir leurs actions :
https://www.facebook.com/colerenomfeminin
Crédit : NantesPassion N°246 octobre 2014
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Le féminin en colère !
2015-06-18 16:53:46
www.iaenantes-alumni.fr
https://www.iaenantes-alumni.fr/medias/image/17521860026230b31008c19.png
2015-07-22 16:53:46
2015-06-18 11:04:48
Laura LACOSTE
Laura LACOSTE, étudiante en Master 2 Administration des entreprises Formation continue ose lever la voix au féminin contre le harcèlement de rue.
« Ta main sur mon cul, ma main sur ta gueule »
C'est le message choc délivré par la jeune association nantaise.«Colère : nom féminin» pour sensibiliser au harcèlement de rue.
«Il y a un an, on m'a appelée "viande à viol"rue de Strasbourg en plein après-midi. Cela m'avait profondément touchée. J'ai alors beaucoup lu sur le sujet du harcèlement de rue, un terme rare en France alors qu'il est très développé ailleurs», relate Laura, la fondatrice de «Colère: nom féminin», qui a notamment travaillé dans une librairie spécialisée en BD et comics et managé une boutique de tatouages. Puis Jack Parker, une journaliste, se fait agresser pour la seconde fois en début d'année à Paris dans le métro. «Il m'a fallu ce deuxième déclic pour bouger.Je me suis dit qu'il fallait vraiment faire quelque chose.»
Pour agir, sa démarche est simple: l'association met en vente des débardeurs et des «tote bags» (des cabas) à des prix abordables sur lesquels sont sérigraphiés des slogans qui affichent clairement le refus du harcèlement de rue. «50 % des bénéfices financent des associations engagées dans cette lutte et également celles contre les violences faites aux femmes et aux homosexuels.
Le reste est réinvesti.» Grâce aux réseaux sociaux et au boucheà oreille,le succèsest est là puisque c'est de toute la France que les commandes affluent.
Pour soutenir leurs actions :
https://www.facebook.com/colerenomfeminin
Crédit : NantesPassion N°246 octobre 2014
https://www.iaenantes-alumni.fr/medias/image/17521860026230b31008c19.png
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