Avant d’intégrer le MAE Intensif, j’ai suivi des études à l’Université de Harbin, en Langue et littérature française. Je suis d’abord venue en France à l’IRFFLE pour perfectionner mon français et atteindre le niveau B2 et je suis retournée à Harbin. Une fois acquis mon Benke, je suis revenue à Nantes pour m’inscrire en M1 à l’IEMN-IAE.
Les études que j’ai suivies en Master à l’IEMN-IAE sont très professionnalisantes. Au départ, quand j’étais étudiante, je ne voyais que les aspects théoriques et scolaires de ma formation. J’ai découvert en ayant obtenu mon Master à quel point ces études étaient aussi très utiles pour mon travail. J’ai appris à devenir professionnelle dans mon comportement. Ce n’est pas seulement une question de savoir-faire, mais aussi une question de savoir-être. Je suis devenue plus mûre.
Aujourd’hui je travaille pour une entreprise française dans le domaine de l’aéronautique (ISNL Aérospace). Il s’agit de l’entreprise où j’ai effectué mon stage. Cette entreprise vend des pièces forgées à des clients chinois mais aussi à l’international. Nous jouons également un rôle d’agent pour des entreprises aéronautiques allemandes. Je m’occupe de service après-vente, de communication externe et relation clients. Je joue aussi parfois le rôle d’interprète lors de réunions avec des clients chinois car mes patrons sont français. Même si j’utilise beaucoup l’anglais dans mon travail, le fait d’avoir eu une formation au management ET en français a été un atout pour obtenir cet emploi.
Mon premier conseil aux étudiants chinois qui viennent à Nantes est de changer d’attitude. Il existe une grande différence entre faire un Master en Chine et en France. En Chine, il est très difficile de rentrer en Master, mais une fois qu’on y est c’est facile car il n’y a pas de cours, juste des mémoires à réaliser. En France, il faut travailler très dur pour obtenir son diplôme. Le rythme de travail en Master en France ressemble un peu à celui que les étudiants chinois connaissent avant le Gao Kao pour préparer cet examen. Mon deuxième conseil est qu’il faut être ouvert aux autres et ne pas hésiter à parler aux étudiants français, pas seulement pendant les cours et pour les travaux communs, mais aussi en dehors de l’Université.
Les études que j’ai suivies en Master à l’IEMN-IAE sont très professionnalisantes. Au départ, quand j’étais étudiante, je ne voyais que les aspects théoriques et scolaires de ma formation. J’ai découvert en ayant obtenu mon Master à quel point ces études étaient aussi très utiles pour mon travail. J’ai appris à devenir professionnelle dans mon comportement. Ce n’est pas seulement une question de savoir-faire, mais aussi une question de savoir-être. Je suis devenue plus mûre.
Aujourd’hui je travaille pour une entreprise française dans le domaine de l’aéronautique (ISNL Aérospace). Il s’agit de l’entreprise où j’ai effectué mon stage. Cette entreprise vend des pièces forgées à des clients chinois mais aussi à l’international. Nous jouons également un rôle d’agent pour des entreprises aéronautiques allemandes. Je m’occupe de service après-vente, de communication externe et relation clients. Je joue aussi parfois le rôle d’interprète lors de réunions avec des clients chinois car mes patrons sont français. Même si j’utilise beaucoup l’anglais dans mon travail, le fait d’avoir eu une formation au management ET en français a été un atout pour obtenir cet emploi.
Mon premier conseil aux étudiants chinois qui viennent à Nantes est de changer d’attitude. Il existe une grande différence entre faire un Master en Chine et en France. En Chine, il est très difficile de rentrer en Master, mais une fois qu’on y est c’est facile car il n’y a pas de cours, juste des mémoires à réaliser. En France, il faut travailler très dur pour obtenir son diplôme. Le rythme de travail en Master en France ressemble un peu à celui que les étudiants chinois connaissent avant le Gao Kao pour préparer cet examen. Mon deuxième conseil est qu’il faut être ouvert aux autres et ne pas hésiter à parler aux étudiants français, pas seulement pendant les cours et pour les travaux communs, mais aussi en dehors de l’Université.
HUA Xu
Diplômée M2 MAE Intensif - promotion 2014
Pékin, avril 2015
Diplômée M2 MAE Intensif - promotion 2014
Pékin, avril 2015
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HUA Xu Diplômée M2 MAE Intensif - promotion 2014
2016-11-21 10:28:38
www.iaenantes-alumni.fr
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2016-11-21 10:28:38
2016-11-21 10:13:40
Xu HUA
Avant d’intégrer le MAE Intensif, j’ai suivi des études à l’Université de Harbin, en Langue et littérature française. Je suis d’abord venue en France à l’IRFFLE pour perfectionner mon français et atteindre le niveau B2 et je suis retournée à Harbin. Une fois acquis mon Benke, je suis revenue à Nantes pour m’inscrire en M1 à l’IEMN-IAE.
Les études que j’ai suivies en Master à l’IEMN-IAE sont très professionnalisantes. Au départ, quand j’étais étudiante, je ne voyais que les aspects théoriques et scolaires de ma formation. J’ai découvert en ayant obtenu mon Master à quel point ces études étaient aussi très utiles pour mon travail. J’ai appris à devenir professionnelle dans mon comportement. Ce n’est pas seulement une question de savoir-faire, mais aussi une question de savoir-être. Je suis devenue plus mûre.
Aujourd’hui je travaille pour une entreprise française dans le domaine de l’aéronautique (ISNL Aérospace). Il s’agit de l’entreprise où j’ai effectué mon stage. Cette entreprise vend des pièces forgées à des clients chinois mais aussi à l’international. Nous jouons également un rôle d’agent pour des entreprises aéronautiques allemandes. Je m’occupe de service après-vente, de communication externe et relation clients. Je joue aussi parfois le rôle d’interprète lors de réunions avec des clients chinois car mes patrons sont français. Même si j’utilise beaucoup l’anglais dans mon travail, le fait d’avoir eu une formation au management ET en français a été un atout pour obtenir cet emploi.
Mon premier conseil aux étudiants chinois qui viennent à Nantes est de changer d’attitude. Il existe une grande différence entre faire un Master en Chine et en France. En Chine, il est très difficile de rentrer en Master, mais une fois qu’on y est c’est facile car il n’y a pas de cours, juste des mémoires à réaliser. En France, il faut travailler très dur pour obtenir son diplôme. Le rythme de travail en Master en France ressemble un peu à celui que les étudiants chinois connaissent avant le Gao Kao pour préparer cet examen. Mon deuxième conseil est qu’il faut être ouvert aux autres et ne pas hésiter à parler aux étudiants français, pas seulement pendant les cours et pour les travaux communs, mais aussi en dehors de l’Université.
HUA Xu
Diplômée M2 MAE Intensif - promotion 2014
Pékin, avril 2015
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